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AU NIVEAU DE L'INTÉGRITÉ ÉLECTORALE

TEXTES ET VIDÉOS
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En pratique, existe-t-il une réelle différence entre le terme « électeur » et « esclave moderne »? La « démocratie » prétendument défendue et appliquée ne serait-elle pas en réalité qu’une mascarade de ce même système souhaitant endormir et manipuler le pouvoir d’un peuple ou plutôt, celui des individus qui le composent à travers son histoire? Par exemple, en accentuant l’importance de ne voter qu’une seule fois au 4 ans sans jamais être consulté ou informé correctement entre temps. En faisant croire que la déresponsabilisation et la soumission en tout temps aux décisions politiques qui en découlent est alors le summum de la démocratie et le mieux qu’il est possible d’espérer, conditionnant à l’avance toute volonté de rébellion. En s’assurant que le contrat d’embauche du représentant, qui la majorité du temps sera « élu » minoritairement, repose principalement sur sa capacité à lui-même céder sa propre autorité et ses futurs votes à la ligne d’un parti? Parti qui sera lui-même contrôlé et administré par un caucus ou un « establishment » dont le chef sera nommé d’office premier ministre suivant l’élection sans même avoir été soumis au suffrage universel pour cela. Et finalement, en s’assurant que tous les représentants, peu importe leur spectre politique, braient unanimement la légitimité de ce système et en défendent le fonctionnement comme l’exercice ultime de la souveraineté du peuple, qui historiquement, n’aura jamais réellement participé à sa création. Dans ce cadre d’influence pyramidale, serait-il possible d’imaginer ou même d’observer concrètement qu’une ou des forces extérieures non élues puissent posséder une plus grande influence sur le premier ministre, son caucus et tous les représentants que la volonté de paix, de liberté et de bien-être du peuple? Et quels en seraient les moyens bien connus? Le sexe et ses penchants pervers, l’argent, la drogue, le pouvoir, la célébrité et une protection contre la justice commune? En faisant d’eux une sorte de classe sociale, des familles royales, des vedettes, une soi-disant élite au-dessus de la plèbe? Mais qui pourrait avoir de tels intérêts et de tels moyens? Accéder et donner en toute transparence la réponse à cette question est la mesure de la volonté d’intégrité de tout système envers lui-même, quel qu’en soit la forme préconisée.

Élections courriels

Questionner l'intégrité des élections 

Durant cette période de crise, nous avons eu une élection fédérale précipitée et une élection provinciale. Comme les conditions pour voter n’étaient pas idéales en raison des mesures sanitaires imposées, la question de la fraude refaisait surface. Pas seulement ici, mais un peu partout sur la planète et particulièrement aux États-Unis lors des élections présidentielles de 2020 et les « mid-terms » de 2022 ciblant l’ingérence étrangère, le vote par correspondance, les prête-noms et les machines de comptage. J’ai donc voulu tester la robustesse de notre système et vérifier pourquoi je n’avais pas reçu de carte de l’électeur lors de l’élection provinciale et voir si Élections Québec pouvait me confirmer si j’avais voté ou pas le soir de l’élection. La réponse telle qu’attendue n'a pas témoigné de cette robustesse.

Élection fédérale :

Élection provinciale:

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