Dans mon enfance, je dois admettre me souvenir de rumeurs ridiculisées concernant l’utilisation de machines à pluie dans le nord du Lac-St-Jean. Elles impliquaient l’armée américaine. Malgré l’incrédulité émotive générale de l’époque, il est intéressant de constater que ce lac représentait un intérêt pour ce type d’expérience en lien avec la gestion de son niveau d’eau. En effet, après la nationalisation de l’électricité, il est demeuré le seul réservoir hydrique d’un réseau de centrales privées gérées par et pour les besoins des usines de production d’aluminium de la région. Or une trentaine d’années plus tard, dans le cadre d’une rencontre d’affaire, un consultant va m’avouer tout bonnement son intérêt pour la construction d’une machine à micro-ondes pouvant contrôler localement le climat; les brevets militaires associés étant maintenant tombés. Nous passions donc du mythe ridiculisé à l’opportunité commerciale. Autrement, à travers toute cette fausse crise sanitaire sur fond de fausse crise climatique promue sans surprise par les mêmes faux acteurs politiques et économiques, beaucoup d’informations et d’anciennes dénonciations referont surface. Pas seulement en lien avec les armes biologiques développées par des organisations militaires mais également en lien avec celles développées pour le contrôle climatique, géologique et celui de l’esprit humain. L’épandage atmosphérique d’éléments chimiques (« chemtrails ») tels que le baryum, l’aluminium, les sels d’argents et autres composites en sera l’un des aspects les plus fréquemment rapportés à la fois par des photos de milliers de gens à travers le monde, par le travail politique de nombreux lanceurs d’alertes spécialisés du sujet, et même par certains reportages de grands médias corporatifs. Évidemment, le même genre de polémique absurde sera d’abord martelé médiatiquement pour confondre monsieur et madame tout le monde et leur faire croire que cela ne se passe que dans leurs films préférés. C’est qu’encore une fois, admettre sa réalité confirmerait le modèle crasse d’activités secrètes illicites d’apprentis sorciers utilisant les populations comme du bétails pour servir leurs intérêts, ce qui est pourtant le cursus de base du génie de l’environnement. J’ai donc décidé de lever les yeux vers le ciel pour voir et en voici quelques photos. Aucun doute sur le phénomène. Presqu’à chaque jour, il était possible d’observer de l’épandage systématique avec des points de largage précis, des durées de rejet et des constructions nuageuses caractéristiques. Conclusion minimale, un avion peut créer des nuages et modifier l’atmosphère; donc les machines à pluie, ça existe bel et bien finalement…