AU NIVEAU DE LA GESTION FINANCIÈRE
TEXTES ET VIDÉOS
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Imaginez reconnaître l’existence d’un groupe privé secret s’étant arrogé le pouvoir d’imprimer de l’argent, lui donnant ainsi les moyens de générer n’importe laquelle entreprise, crise ou guerre, fictive ou non, dans le but bien précis de détourner l’attention des populations sur l’arnaque de leur endettement perpétuel faussement consenti et volontairement construit pour les maintenir dans la croyance en cet unique système financier et ses gouvernements associés qui les exploitent et les contrôlent au détriment de leur autonomie. Ceci n’est pas de la fiction, c’est un programme politique, de l’histoire, celle des banques centrales. Elle définit factuellement l’esclavage moderne et son mode de vie axé sur la consommation de « drogues » de toutes sortes.
Questionner mon institution financière sur le partage unidirectionnel des renseignements personnels (Q +++ )
Dès le début sanitaire de la crise d’insanités, il sera rappelé par plusieurs que le passeport vaccinal n’était en fait que la prémisse pour faire accepter aux gens l’introduction de nouvelles technologies et comportements reliées à l’identité et à la monnaie numérique. Leur implémentation finale devant être assurée par une crise économique et financière provoquée par des pénuries et de l’inflation menant à l’effondrement des banques et du dollar américain comme monnaie d’échange mondiale. Le tout afin d’obliger la population restante à utiliser un nouveau système de contrôle financier numérique centralisé plus perfectionné proposé comme solution du bonheur par les mêmes pouvoirs reconnaissables. La stratégie habituelle de créer le problème pour ensuite forcer sans trop que ça paraisse la solution préméditée. C’est ce que font les pédagogues, ils partent d’une solution pour construire le problème. Ayant cette perspective historique en tête, je me suis donc questionné lorsque je fus confronté de nouveau à cette psychologie de l’extorsion pour maintenir un droit ou un service. Cette fois, ce n’était pas le gouvernement mais mon institution financière qui me demandait de consentir à une nouvelle politique de confidentialité afin de maintenir l’accès au service qui me permettait de transiger par internet avec ma caisse depuis une vingtaines d’années. Après lecture rapide de cette dernière, j’ai conclu que pour m’assurer d’un consentement éclairé, il me fallait la liste exacte de toutes les compagnies susceptibles de transiger ou de recevoir mes données personnelles à travers l’utilisation dudit service. Je voulais tout naturellement que la conscience de l’un et de l’autre devienne bidirectionnelle, connaître qui se cachent derrière le réseau de partage, que ce soit pour mes transactions, mon ADN ou chacune de mes pensées. Mais tel que prévu, je me vis opposer un refus sur la base de la priorité du droit des affaires. Ce qui en explicite l’interprétation privilégiée: toi, tu ne dois pas savoir et certains clients ont plus d’importance que d’autres. Et sans surprise, ce ne sont pas les membres déposants… Donc maintenant je savais. Remarquez que c’est la même duplicité qui fut appliqué par les gouverne ments et leurs représentants qui, malgré le prétexte de la « catastrophe naturelle majeure », vont pourtant continuer à protéger le droit des affaires de certaines entreprises et négocier des contrats commerciaux sans transparence au détriment de l’ignorance de ceux qui, réquisitionnés dans la nécessité de leur sacrifice, paieront le prix humain véritable de ces contrats et de cette politique de confidentialité.