Chapitre 1 PREMIÈRE PARTIE – PROBLÈME D'IDENTITÉ ET D'ACCÈS À L'INFORMATION : S’OCCUPER DE CEUX QUI EN SONT RESPONSABLES. Allo mes filles du futur, présent si vous me lisez en ce moment. Petite synthèse pour qu’à votre époque, cette barrière qui empêche votre esprit d’appréhender n’importe laquelle information qui déstabilise la conception profonde de votre univers au quotidien puisse définitivement tomber. Donc d’affronter n’importe quoi qui détruit vos croyances sans bougonner ou sans faire de crise. Pour le vérifier, revenons sur ce brouillard d’informations incroyables qui circulaient à l’époque pour ceux qui l’observaient attentivement et sur comment y voir le phare? La réponse était simple encore une fois, ce cœur, mais celui qui est intelligent. Tout partait de notre histoire cachée par des entités et des organisations qui créaient sur mesure des joies, des peurs et des catastrophes, valorisant cultes et symbolismes pour établir une incroyable manipulation de nos esprits… cette peur de l’admettre et cette capacité de savoir pour enfin le révéler… Il fallait tout remettre en question, montrer les incohérences et les horreurs et prendre en charge pour soi la transparence de l’information, donc de contrer toute culture du secret, toute. Observons d’abord les grandes lignes recueillies afin de dresser un portrait de cette expansion de la réalité, c’est-à -dire le fait que pour des milliers de gens à travers le monde, l’extraordinaire reprenait enfin sa place dans leur vie en raison des évènements planétaires successifs coordonnées qui s’expliquaient de façon cohérente par des optiques défiant le narratif sociale inculquée, comme le contrôle du climat par la géo ingénierie, le contrôle mentale par les ondes ou la Terre sous le dôme d’un tore magnétique supportant un plan de matière densifiée dont le pôle Nord était la clé et le vortex d’un lien mystique bien réel. C’est ici que la fiction dans laquelle nous avions été aveuglément plongés depuis notre naissance pour le bénéfice d’une minorité d’êtres déplorables qui la contrôlait ne faisait plus aucun doute, aucun. L’univers devait être redécouvert par ceux qui en avaient la volonté, mais la question demeurait toujours la même, « qui dit vrai »? Votre père savait au moins une chose, il ne racontait rien pour le moment que d’autres n’avaient pas déjà dit bien avant lui, mais sa priorité était autre. Comprendre à la source était devenu complexe parce qu’il nous fallait lire entre les lignes. « Comment ça? Les lignes n’étaient plus fiables? » Nous vivions une communication de résistance à la fin d’une époque où l’idolâtrie de l’absurde, de la médiocrité et de la stupidité était devenue légendaire, une aliénation. Nous étions incapables de reconnaître et de prendre action collectivement contre le délit d’initié de tout un monde de cachettes et de secrets qui nous assassinait en plein jour. Pourtant, quand j’étais jeune, nous étions tous des « pros ». Chaque vendredi soir après le souper, nous nous réunissions avec nos amis sur notre immense galerie pour jouer à la cachette. Et nous aussi on se fabriquait des tunnels, mais dans notre cas, l’hiver sous la neige. Et je fais bien référence à l’existence de par le monde de réseaux souterrains cachés. En parler dérangeait les gens de par la nature « invisible » des forces qui entretenaient cette corruption dans nos comportements et de par l’idée qu’il y avait une construction politique intentionnelle derrière, responsable de cette apathie générale lui étant associée. Nous observions que l’intégrité morale et la rigueur intellectuelle n’étaient plus valorisées dans l’espace public médiatique autant que le pouvoir de l’argent et celui de la célébrité du « j’aime » qui se montre les fesses pour posséder ou être possédé par la marque de commerce de la société qui nous contrôle. « T’exagère encore papa! personne n’exécute une tâche criminelle sous la menace d’un licenciement ou si on lui donne une très grosse prime en argent. Violer un enfant entraîne le pire des châtiments par la justice. Le monde interlope d’un « John Wick » qui paie avec de l’or plutôt que de l’argent fiduciaire en papier, ça n’existe pas. » Imaginez les filles, nous étions rendus à un point où votre père pouvait déstabiliser émotionnellement son entourage parce qu’il ne buvait plus de vin comme tous les autres apôtres, qu’il n’écoutait plus la télé et sa pornographie ou qu’il disait patiner avec « des patins de gars »; alors comment se préparer à l’idée que nous étions socialement au fond du seul baril qu’on avait connu? Le contrôle et l’ingénierie sociale basée sur la peur et la « sécurité nationale » avait atteint un tel succès, qu’il était devenu impensable, non pas dans nos dires mais dans nos actions, de ne pas se soumettre au fonctionnement d’un monde dirigé par des psychopathes et des voleurs qui nous arnaquaient à tous les niveaux, nous imaginant ne pouvoir rien y changer, sauf d’accepter de jouer avec leurs règles et d’en tirer profit en abandonnant à leur sort toutes les autres victimes jugées irrécupérables, collaborant de ce fait à la mise en place de ce cercle vicieux de la corruption et de ce sentiment d’impuissance lui étant initialement associé. L’homme était émasculé, la femme déféminisée, la famille nucléaire déconstruite, pas seulement au sens d’une stérilisation chimique mentale ou environnementale, c’était un agenda documenté, un culte mondialiste connu, une haine visible contre notre humanité qui nous maintenait amnésique de notre instinct naturel à aimer. Et l’outil principal pour maintenir la cohésion de cet état d’esprit collectif travesti passait par le contrôle des gouverne-ments, de l’argent, des médias et des transports pour que les gens cèdent leur créativité et leur travail dès leur naissance à ce système qui corrompt par le mensonge sous toutes ses formes: « L’histoire, l’archéologie, la religion, la science avaient été falsifiées, les médias et leurs divertissements s’assuraient que nous ne puissions pas connaître la vérité, l’argent papier était une arnaque, le système financier mondial étaient dans les mains des spéculateurs et des usuriers, les gouvernements étaient leurs corporations non représentatives corrompues au service de banques centrales privées qui s’assuraient que nous restions endettés, l’industrie alimentaire, pharmaceutique et médicale s’assurait que nous restions malades, les militaires et les fabricants d’armes s’assuraient que nous restions en guerre, les politiciens et les avocats s’assuraient que tout ce qui précède nous apparaissent légal, les juges et les agents de police s’assuraient d’en contrôler l’injustice commerciale et le système d’éducation formatait les enfants pour qu’ils s’habituent à trouver tout ça normal… » Bref, nous subissions à différents niveaux un lavage de cerveau pour que l’on s’attaque à ceux qui veulent nous sortir de notre enfer afin de nous maintenir dans un marché de proxénètes, et objectivement, il était difficile de le contredire; et habituellement, les interventions faites en ce sens par certains étaient directement corrélées à un changement dans l’appréciation de leur confort donné.
Chapitre 2 Pour votre père, l’intention politique organisée et la mécanique derrière cette psychologie du mensonge était maintenant reconnaissables, il les avait documentées à travers sa propre expérience afin de vous expliquer son état d’esprit face à ce monde à l’envers et être un exemple de résistance contre tous ceux qui insultent, intimident et supplient afin de vous forcer à faire pour eux quelque chose contre votre gré. Mais il me fallait également vous le corréler avec celui de pionniers extraordinaires, beaucoup plus avancées dans leurs recherches qui, sans financement universitaire contrôlé par des agences de renseignement privé ou gouvernemental, affirmaient depuis des années au prix de leur vie qu’ils voyaient des fantômes et de l’énergie libre. Et que ce soit au sens propre comme au figuré, les préjugés ou le désintérêt que cela pouvait engendrer chez vous ou chez les autres ne pouvaient point m’arrêter; c’est un élément clé et vous y reconnaîtrez bien là votre père qui, fondamentalement, est cet être en colère de sa propre ignorance et de tout ce qui peut lui mentir : « Ben non, ben non, même si c’est pratiquement textuel, c’est impossible que la théorie du « Big Bang » des physiciens maçonniques sur la création de l’univers soit la reprise exacte de celle d’une kabbale médiévale « satanique » ou que l’on puisse être encore administrés comme une colonie de peuplement! Sinon, pourquoi les livres d’histoires, la politique, la littérature, la musique, le cinéma, la science, la religion, la psychologie, la philosophie nous enfermeraient-ils constamment dans les mêmes débats stériles concernant une humanité sous le joug de régimes totalitaires déguisés, exigeant toujours des peuples des royautés (impôts, taxes, servitudes) pour la protection de familles dirigeantes chevaleresques prédéterminées (gouvernements et leurs élections) et leurs marchands d’esclaves (armée, mercenaires, pirates) qui préfèrent le pouvoir que procure le commerce de la guerre à la paix qu’offrirait l’émancipation du genre humain? » Encore une fois, le signe de l’endoctrinement? Qui sont ces êtres sans scrupules pour ainsi exploiter les gentils et les naïfs et qui sont ceux qui les protègent? Le fameux jeu du loup et du berger des êtres élus? Des peuples élus? Mais pourquoi ne pouvaient-ils pas tous juste nous « crisser » patience? Question d’école, de prison ou de drogue de laboratoire, au choix semble-t-il, mais peu importe, y arriver passait naturellement par notre capacité à nous défendre et de ne plus avoir peur d’aucun loup ou de ne plus avoir besoin d’aucun berger. C’est donc un énoncé très clair sur la nécessité de notre autonomie et de notre indépendance : « soyons les capitaines de nos navires ou la lumière de nos pensées. » Par conséquent, tous leurs complexes d’infériorité ou de supériorité hiérarchiques qui nous divisent, il fallait se les mettre là où je pense, sans pour autant rejeter ce qui est plus avancé que soi. Et c’est ce que nous apprenions concernant l’histoire de nos ancêtres. Que notre passé est toujours bien présent, mais que nous pensions que c’était notre futur simplement parce qu’on nous le faisait miroiter comme une fiction à travers le petit écran… Si le monde n’était pas exactement tel qu’on le pensait ou plutôt, tel qu’on nous le faisait penser, comment le vérifier simplement et le faire savoir aux autres que l’on aime mais qui comme nous, à un moment ou un autre, n’étaient juste pas encore prêts à l’entendre, trop préoccupés à obtenir leur dose de bonheur pour s’y intéresser, cédant de plus en plus leur bon jugement à la machine vedette programmée de l’internet dont les gouvernements nous faisaient dépendre? En dévoilant le jeu des chaines et des canaux de cette même psychologie de l’abonnement à chaque nouvelle version X? En se recentrant sur le concept de bien vibrer quelque chose ou quelqu’un, c’est-à -dire savoir quand bien le sonner ou le dissoner? Un seul coup de poing, « black-out », et je m’étais réveillé comme bien d’autres au tapis sans comprendre… Par le Verbe, Dieu créa le monde, et effectivement, on observe que le son peut séparer les eaux et créer de la lumière. Quelle est la différence entre un « bon » et un « mauvais » son? Et peut-on sonner ou vibrer sans fréquence, c’est-à -dire de déformer un milieu sans répéter la même forme? Et si être libre, c’était de ne plus dépendre de la fréquence? Basse ou haute, lente ou rapide, la clé réside-t-elle dans notre capacité à savoir quand et comment la résonner? De transformer le chaos de notre environnement immédiat en harmonie, donc de passer du bruit à la musique… à voir. Les physiciens nous disent que la tendance « naturelle » de l’univers est vers le désordre? Nous parlent-t-ils de leur propre création? Et comment reconnaître l’inutilité de vivre dans la théorie complexe de la relativité générale pour ne pas dire la relativité générale des théories? Ce monde d’incertitudes et de doutes conditionnés par la précision des estimateurs probables. Qu’est-ce qui nous empêche de savoir absolument, donc d’éliminer cette entropie? Quand une question est posée les filles, en donnons-nous ou en recevons-nous une réponse exacte et précise? Remarquez-vous quand ça bloque? Pouvez-vous identifier si l’accès à l’information subit une quelconque forme de contrôle? L’acceptions-nous comme une limite infranchissable? N’est-il pas étrange que d’en parler ou de se consacrer à en trouver les réponses, a transformé votre père, à tout le moins pendant un certain temps, même dans vos yeux, en cet être bizarre, socialement déconnecté et médiatiquement vilipendé par des clowns mieux formés que lui dans la science spécifique du contrat télé, criant à l’infâmie et à la folie de ceux qui librement sur internet exposait leurs pratiques (ou cultes) de l’inversion accusatoire : le fameux lui qu’il le dit c’est lui qu’il l’est de notre enfance. Pourtant, les gens étaient bien conditionnés à vouloir incarner cet anticonformisme qui se conforme à ce besoin collectif désespéré de se sentir unique et reconnu, d’être les experts quelconques du star-système de leurs différents réseaux sociaux. Et que dire des centaines de films de héros et de rebelles leur suggérant de ne pas se plier à l’appât du gain offert par cet empire bienpensant, celui qui exige la prostitution des diplômes et du travail bien rémunéré permettant de dire aux autres dans une revue quelconque, ce qui est important dans la science de la vie, comme manquer de temps et d’enfants. Dites-moi les filles, le prostitué devait-il demander la permission à son ordre professionnel pour pratiquer? Avait-il besoin d’un syndicat pour être protéger? Est-ce que le gouvernement décidait de sa légalité? Et son argent poche pour le lunch du midi, était-il taxé par ces derniers? Oui était la réponse à toutes ces questions. Le modèle mafieux vous apparaît-il plus clair maintenant? Nous devions reconnaître le danger de déléguer le fait de savoir à une autorité autre que la sienne? Quel être intelligent voudrait ça? Donc pourquoi la représentation en politique? Quel est le lien avec l’indépendance américaine et sa constitution ou la nôtre? Étions-nous prêts à affronter ce qu’implique la lutte contre la psychopathie de l’abus, du mensonge, de la corruption, de la soumission et de la domination dans notre propre existence, car il n’y a pas d’excuse, sommes-nous de ceux et de celles qui mangeons parfois ou tout le temps à cette table? Monter la montagne sans faire aucun effort ou en embarquant sur le dos des autres ne nous entraîne certainement pas à avoir bon cœur. Espérer en bénéficier un jour serait stupide. Il nous faut régler les fondations maintenant, là où nous sommes; construire des plans supérieurs ne fera qu’en révéler les faiblesses jusqu’à son point de rupture. Le nier fait partie des os de tous ceux qui vivent des ombres de leur caverne et qui sont prêts à repousser le problème ou le détourner à travers des débats émotionnels futiles, répétant avec certitude que la terre est un globe sans l’avoir eux-mêmes mesuré, préférant modifier les archives du passé et imposer le choix scientifique ou religieux de la domination des paires, ne sachant plus s’illuminer de leurs propres impairs, ce qui génère la discorde au lieu de l’harmonie. L’idée est donc de sortir de cet état d’esprit pour atteindre cette maturité guerrière d’agir contre toute forme de mensonge pour en appliquer la justice, parce qu’un mensonge en entraînera toujours un autre, l’ignorer ou le répéter ne le transformera pas en vérité, sauf culturellement; et toute fraude rendra viciée ce qu’elle touche, y compris vous-même. L’abus cause un trauma et sa répétition, le coma de l’esprit : ce profond sommeil dans lequel l’humanité était plongée.
Chapitre 3 La psychologie du mensonge n’était pas difficile à observer ou à expliquer sous ses différentes formes dans notre quotidien; nous l’apprenions comme une leçon enfant pour étrangement l’oublier une fois adulte. Les évènements planétaires de cette époque en était d’ailleurs la conséquence visible. Mais encore une fois, avouer sa participation était beaucoup plus difficile parce que les gens (victimes ou bourreaux) bougonnent quand tu la leur révèles en raison du sentiment de culpabilité qui se manifeste instinctivement en eux à l’idée qu’un abus puisse avoir été perpétré par un système dans lequel ils se retrouvent obligatoirement impliqués. D’ailleurs, les manipulateurs de ce genre de système le savent très bien et l’utilisent à leur avantage. Mon dossier de grief contre la ville de Montréal, cette corporation au service du capital humain, selon ses propres documents, était justement un exemple construit pour en témoigner. Et à titre d’auxiliaire corporatif col blanc, j’avais pu vivre et documenter la gangrène de cet agenda mondialiste de l’incompétence, tolérée de façon inacceptable dans la gestion de la ville depuis beaucoup trop longtemps. Et ce même exemple me confrontait à la logique de ce qui était appelée la fraude du nom légale ou le vol d’identité, terme régulièrement dénoncé dans l’actualité pour protéger ceux-là même qui le pratiquaient. Rappelez-vous mes communications avec ma caisse d’économies sur le piratage de mes informations personnelles. Tout était lié encore une fois à cette organisation concrète de notre monde et de sa psychologie du droit des affaires qui nous faisait oublier que nous sommes les bénéficiaires ou créditeurs prioritaires (le fameux droit d’ainé) de notre travail et des différentes ressources de la terre. Le tout, pour contourner sournoisement la responsabilité immuable des conséquences de nos actes face à un autre être vivant. L’astuce passait par la fabrication et l’usage de « Faux » en utilisant un langage à double sens et en manipulant la vertu et notre connaissance de la réalité. Elle va commencer dès notre naissance, par un subtil processus d’extorsion de nos parents pour leur soutirer un accord administratif au moment même de l’accouchement et de ses exigences émotives. Leur stratégie classique de vente sous pression. Elle va se terminer avec la mise en place du business de la mort assurée ou assistée (avortement, accident, euthanasie) et ses diverses bio banques (dons d’organes) et biotechnologies (médicaments, armes biologiques) pour compléter le fonctionnement de ce marché global. Une fois les papiers signés, ces technocrates les utiliseront comme une autorisation pour initier en notre nom un voile ou un parasitage de notre incarnation dans un corps fait d’os, de chair et de sang afin de nous la faire confondre avec une incorporation dans un corps immatériel, c’est-à -dire une « personne fictive », une « entreprise », un « homme de paille », etc. qui portera le même N.O.M. que nous. Le tout afin de ramener l’être vivant sous la juridiction «.inc » du commerce maritime et la tutelle de l’État. Ensuite, éduqués historiquement à l’ignorance par des gouverne-ments complices, nous allons grandir dans une société qui nous identifiera à cette entreprise inconsciente et sans vie, afin qu’on lui crédite notre travail et nos ressources en échange d’une « dette en capital » qui sera due en priorité à l’être vivant bénéficiaire mais qui l’ignorera. Nous deviendrons ainsi au sens littéral, des morts-vivants ou des êtres dissociés, ce qui va se traduire dans notre psychologie et nos comportements sociaux par un problème d’identité. Il y aura deux comptabilités, une « officielle » de budgets et d’échange de la dette, et une autre « cachée » concernant les crédits réels ou la sureté. Le langage administratif et législatif sera alambiqué et il y aura une confusion sur la signification du certificat de naissance émis par le directeur de l’état civil comme preuve de l’acte de constitution de la « personne fictive » ou si vous préférez, de la personne juridique comme entreprise légale. Ensuite, toujours suivant une numérologie occulte bien précise, si l’être vivant bénéficiaire, après sa 7e année de vie, ne se déclare pas comme le fiduciaire légal de l’entreprise portant son N.O.M., il sera considéré comme « perdu en mer », errant probablement entre les eaux « astrales » de la mort et celles de l’« éther » de la vie. Notez que cette terminologie poétique liée à la mythologie de la mer et de son commerce de pirates n’est pas un hasard, il y a du surnaturel là -dessous ou dans les faits, du naturel dont on n’est juste pas sûr. En effet, n’étant pas au courant de la combine, car elle ne devrait pas exister, il y a peu de chance que l’être vivant se déclare, ce qui permet alors à l’État corporatif et à son curateur public de prétendre n’avoir d’autre choix que de demeurer le fiduciaire, donc le responsable de la gestion de la « personne fictive » et de son patrimoine non réclamé. Exactement ce qui se passe lorsque quelqu’un décède et qu’il n’a pas de descendance, c’est l’État et donc ceux qui le contrôlent qui héritent. Et à partir de ce moment, la dette de la « personne fictive » va pouvoir être échangée dans un marché public officieux utilisant un « dollar fiduciaire »; et l’être vivant, à travers son ignorance et sa bonne foi, va y fonctionner et l’entretenir en signant des contrats au nom de sa « personne fictive » pour recevoir ou offrir différents services corporatifs qui seront régulées par des agences dites « gouvernementales » ou autres qui techniquement lui ont déjà été créditées. Ensuite, ce dernier va gentiment ou suivant la menace de la justice administrative statutaire des autorités et autres personnalités bénéficiant de cette arnaque, agir lui-même comme agent de recouvrement en repayant les factures adressées à cette entité portant le même N.O.M. que lui et dont il se croira responsable du fait de cette confusion légale ignoble. La quintessence de la tromperie. Et c’est ici qu’entrera en jeu l’importance de la signature et du consentement, car tous ceux qui participent à ce genre de racket et de fourberies l’utiliseront comme un argument d’absolution de leurs péchés : « c’est de sa faute, c’était clairement écrit en petits caractères au bas du contrat de l’annexe. » On y reconnait bien là le modèle d’affaire du nain Tracassin ou encore cette mentalité individuelle ou collective à vomir et historiquement identifiable du : « tant que vous êtes ignorants et agissez stupidement, même si c’est de mon fait, je peux et je vais, de par la supériorité « morale » de mon statut social, de mon livre sacré, de mon intelligence ou de mon armée, vous fourrez ». Dans les faits, cette fraude n’était que la simple et très habile reconfiguration politique et économique de l’esclavage, utilisant des moyens technologiques de plus en plus sophistiqués pour manipuler nos pensées et nos corps physiques, ayant comme objectif la forme de contrôle parasitaire ultime, celle où l’être vivant collabore à entretenir et à défendre sa prison et son géôlier, croyant au « naturel » de sa mort afin d’accepter l’« artificiel » de sa vie. Qui plus est, elle expliquait très bien cette obsession maladive de toutes ces forces sociales, politiques, économiques, scientifiques, technologiques et ésotériques d’un forum mondial qui poussaient toujours plus vers le « trans » humain breveté, amenant les gens à s’identifier de plus en plus facilement à un avatar, un double d’eux-mêmes comme à un objet numérique ou à un personnage technologique non genrée pour consolider leur arnaque juridique et commerciale sur le vivant. Cela expliquait aussi très bien l’inconsistante et répétitive rhétorique des politiciens ainsi que la protection systématique de leur immoralité par la justice ou de leur incompétence de gestion suite à leurs passages privilégiés et répétitifs sur les conseils d’administration des nombreuses agences gouvernementales et autres grandes sociétés influentes de ce monde qui leur permettaient de s’enrichir. Cela expliquait leur silence historique sur le contrôle privé de l’impression monétaire à lequel ils contribuaient pour le bénéfice des mêmes grandes richesses et autres organisations cooptées qui asservissaient depuis des lustres les peuples de ce monde, toujours pour cette Couronne conquérante ou tout autre nom historique associée à cette Grande Compagnie de la Baie d’Hudson prête à vendre notre peau comme toutes les autres fourrures. Conclusion, amnésie et ignorance, mauvaise juridiction et technocratie, fonction publique volontairement inefficace pour générer des factures et de l’endettement, abus de confiance ou délit d’initié par de hauts-fonctionnaires et leurs maîtres associés utilisant leur position privilégiée et leur mainmise des rouages du système pour dissimuler des comportements amoraux destructeurs, inversion des valeurs et de la perception de la responsabilité et de l’autorité, accaparement de notre créativité et de nos ressources pour accumuler une richesse dont ils sont dépourvus afin de jouer aux maîtres du monde : « Les êtres humains, sans en mesurer encore toute l’ampleur et l’importance, subissaient le parasitage d’entités qui géraient et organisaient leur société en interférant et en manipulant l’information pour empêcher qu’ils puissent la recevoir et l’interpréter d’une manière transparente et absolue, causant un grave problème d’identité ce qui en facilitait leur contrôle et les transformait en croyants de leur univers plutôt qu’en savant de leur réalité. » Mais là , comme vous êtes à même de le constater, l’arnaque ou le mensonge, peu importe la façon de le décrire, avait été révélée, ce qui logiquement, suivant la même mécanique du « faut pas que ça se sache », a entraîné une accélération des agendas et des évènements politiques de cette guerre de désinformation que nous subissions par ceux qui en portaient le chapeau, ce qui a donné lieu au théâtre du « Grand Réveil » et de la « Grande Réinitialisation ». Maintenant, la question était simple à l’époque, y avait-il cette fois une nouvelle force en présence pour réellement bousculer le jeu habituel? Et pour votre père, ainsi que pour des millions de gens qui à leur rythme participaient et intégraient ce changement exceptionnel et conscient d’état profond, le comportement absurde et acharné des autorités politiques pour empêcher le monde de savoir et de prescrire dès le départ de vieux traitements antiparasitaires pour contrer leur maladie du Vide avait été suffisant pour nous révéler l’existence d’une intention planifiée et nous indiquer tout naturellement la solution générale qu’il nous fallait suivre… Le déparasitage sous toutes ses formes.
Chapitre 4 DEUXIÈME PARTIE - TRAUMATISER DÈS L'ENFANCE Gardons les choses simples les filles, l’amour que je vous porte est inconditionnel depuis votre naissance, mais attention il n’est pas naïf, il est guerrier et m’incite à agir à certains moments pour vous réveiller. Notez que ceci est réciproque. Rappelez-vous que je n’ai pas besoin de preuve de votre amour. Si quelqu’un vous demande ou exige un jour de faire pour lui quelque chose en guise de preuve; sachez immédiatement le reconnaître et vous en prémunir. L’amour n’est pas ce sentiment de la passion achetable, influençable, consommable ou dépendant, c’est un feu qui vous protège contre tout ceci. Encore une fois, ce genre de comportement ne sera que le reflet de ce modèle de corruption et de distorsion de la nature réelle des choses servant au chantage et à l’extorsion par tous ceux qui, insécures, ne savent plus supporter ce feu sans se brûler. Ils préfèrent alors le simuler pour éteindre celui des autres par leurs pleurs croyant ainsi se rassurer. Et ceux qui ne le réalisent plus se sont égarés dans les abîmes ténébreuses de l’influence et de la domination, et très souvent, en raison de mauvaises expériences imprégnées dans leur enfance. Ayant conscience de ceci, imaginez la profonde colère d’un père derrière l’idée que l’on puisse intentionnellement vous faire du mal en souillant votre pureté, votre beauté et votre innocence, d’autant que c’était le sort subi par plusieurs de nos proches et tellement d’autres êtres sur cette planète. Les effets secondaires étant cette enveloppe étouffante et transmissible à tous les niveaux dans leurs relations avec le monde par la suite. Mais encore une fois, l’étape subséquente était de réaliser que ce n’était pas simplement la conséquence aléatoire et inhérente à quelques esprits dérangés qui errent de par le monde, mais bel et bien le fait d’une organisation de haut niveau souhaitant exploiter les avantages psychologiques et politiques en termes de contrôle que procurent une population traumatisée ou modulée, si possible dès l’enfance, par toutes les formes utiles en ce sens, «bonnes» ou «mauvaises». Vous rappelez-vous du film d’animation « Monster Inc. »? Ce dernier transformait de façon brillante et amusante les monstres de nos placards en personnages attachants d’une dimension parallèle cachée. Et comment ces derniers, sous couvert d’une prise de conscience concernant leurs victimes, finiront par se rendre compte qu’il n’était pas très gentil d’exploiter ainsi la peur des enfants pendant la nuit alors que le rire était une alternative beaucoup plus efficace pour récupérer l’énergie nécessaire au fonctionnement électrique de la matrice de leur monde. Encore une fois ce scénario de pile qui revient. Et comment, pendant le visionnement, du fait de ce subtile détournement d’attention vers une façon beaucoup plus positive, plus gentille, plus acceptable de pratiquer cet abus manifeste contre les enfants, le spectateur, nous y compris, cessions sans nous en rendre compte de s’en indigner. Et indice caractéristique à retenir, toujours pour le bénéfice de ces mêmes monstres. Quelle incroyable capacité de mystification et d’hypnotisme. Et à la fin du film, rien n’a fondamentalement changé, sauf dans la forme alors que nous observions la mise en place d’un âge d’or de la relation des monstres avec l’humanité pour que leur comportement de parasitage soit toléré avec un sentiment de «rire» spirituelle plutôt qu’un sentiment de «peur» religieuse. Et mes mots sont bien choisis dans le contexte des courants de pensées de l’époque. Et ici, vous devez absolument reconnaître cette technique de diversion classique du « bon » vendeur, celle stimulant votre désir d’être l’acteur d’une « loge » ou d’un « groupe sélect » pour obtenir des accès privilégiés à des possibilités futures extraordinaires ou encore, celle qui te fera débattre émotivement de l’erreur possible d’avoir utilisé ou non des ingrédients plus ou moins nocifs concernant la couleur et la saveur de bonbons sans jamais remettre en question le fait que ces derniers puissent être de par nature des poisons. Ce qui aurait tôt fait de ramener l’attention sur les objectifs délibérés et les intérêts de ceux qui essaient de te les vendre. La plandémie de la maladie du VIDE, tel que je vous l’avais documenté, en était dès le départ, un exemple criminel grave nécessitant justice. L’intention était évidente et s’observait à travers cette insistance politique et médiatique pour favoriser financièrement, contre toute forme de discernement et toutes les lois naturelles, une injection forcée, même chez les enfants et les femmes enceintes, de produits expérimentaux inutiles et dangereux tout en interdisant les vieux traitements disponibles face à une grippe manipulée. Et historiquement, ce n’était pas la première tentative, il y avait eu de nombreux autres essais et je peux en témoigner à titre de cobaye. Et le tout basé sur ce même narratif de la preuve d’amour et de la peur pour faire croire en la science de ceux qui sont fiers de pouvoir faire la même chose qu’avant, mais cette fois, en étant marqué par un code numérique plus moderne et beaucoup plus efficace pour demander la permission pour toute. Évidemment, les personnes en autorité dans le monde savaient ce qu’elles faisaient vu l’absence d’écoute mesurable et le niveau mondial de coordination, justifiant les mêmes grossiers mensonges et les mêmes conséquences observables de surmortalité, de peur de révéler leur corruption et la pratique du corsaire par leurs gouverne ments; la dépopulation étant un de leur objectif discuté pour réduire le CO2 émis par notre respiration afin de sauver la planète et éviter de rembourser leurs créditeurs prioritaires, nous. L’Idiocratie quand tu nous prends… D’ailleurs, si l’on revient sur le film « Monster inc », il est utile d’observer qu’en aucun cas les monstres remettent en question leur stratagème inacceptable de pénétrer à l’improviste la nuit dans la chambre à coucher des enfants afin d’y récupérer l’énergie dont ils ont besoin pour survivre. Il n’y a pas de discussion sur la nature de ce geste, seulement un changement sur la façon de le faire. Et c’est d’ailleurs ce qui fait d’eux de véritables monstres, pas leur apparence grotesque. Et l’un des parallèles les plus horribles dans notre réalité fut la confirmation des théories impliquant des réseaux souterrains bien organisés à l’échelle mondiale pour le trafic humain et la torture d’enfants qui littéralement, comme dans le film, utilisait cette adrénaline de la peur pour s’en nourrir au sens propre comme au figuré. C’était une drogue, un élixir de jouvence et un outil de contrôle parmi d’autres pour garantir le succès et la protection de toute une pourriture politique, judiciaire, scientifique, médicale, entrepreneuriale, journalistique, artistique et sportive, activement impliquées ou silencieusement achetées, servant un agenda bien ficelé de normalisation de leurs mœurs à travers leurs grandes organisations mondialistes non représentatives qui chaperonnaient le monde de leur symbolisme caché. Et le rituel pouvait être associé à un culte très ancien et ne datait pas seulement d’hier. Mais encore une fois, tout ceci était ridiculisé et étouffé par ces grands médias criminels corrompus au service de leurs maîtres influents. Pourtant, les nombreux scandales politiques et leurs liens étaient bien documentés partout dans le monde et dénoncés depuis longtemps par des personnes exceptionnelles. Mais pour nos ministères, d’en parler et d’agir réellement sur le sujet n’était pas aussi prioritaire pour protéger l’enfance que celle de faciliter l’accès à la chirurgie et au traitement hormonale pour le changement de sexe dès l’adolescence; cette grande période très « stable » de notre développement qui est bombardées sans cesse par les questionnements et les influences extérieures. Mais dans la vie, à partir du moment où tu constates que les donneurs de leçons pour t’imposer la simplicité volontaire deviennent ces personnalités publiques à l’intégrité et aux comportements d’opulence contradictoire, voilà qui est une autre limite à ne pas franchir contre tout esprit intelligent et souverain qui se respecte, peu importe sa période de développement.
Chapitre 5 CONCLUSION - L'INEXPLIQUÉ QUI EXPLIQUE LE HASARD DES AUTRES Les filles, pourquoi aurions-nous décidé subitement, vous et moi, d’appeler le 9e mois de l’année sept-embre? Surtout qu’en référant à 4 semaines par mois multiplié par 7 jours, nous obtenons 13 mois lunaires identiques de 28 jours. Ou pourquoi aurions-nous décidé, après deux ans de dur labeur, de démolir tous les fabuleux bâtiments construits pour nos expositions universelles? Et si un cercle peut être vu comme l’ombre d’une sphère ou d’un cylindre projetée dans un plan, qu’en est-il de la sphère ou du cylindre dans l’espace, ils sont la projection de quoi? Vous voyez la logique… Donc, résumons à nouveau: les gouvernements et le système politique dans lequel nous évoluions étaient la projection corporative de banquiers mafieux qui mentait sur leur commerce en transformant le peuple et ses individus en marchandise pour l’extorquer. Et malgré l’histoire politique et militaire planétaire explicite qui témoignait de cette mentalité obsessive à le dissimuler en orientant le développement technologique pour le contrôle de notre quotidien taxé en fonction de programmes, de plans d’urgence, de maladies, de conflits et d’assurances vies, les gens avaient de la difficulté à l’admettre, empoisonnés dans leur quotidien pour penser que tout cela n’était que le fruit du hasard plutôt que le « business » habituel de la dépendance nécessitant un plan d’affaires ou «complot» avec des objectifs et des dates planifiées. Pourtant, il suffisait d’observer à quel point notre société tolérait les discours diffamatoires, la déresponsabilisation politique, la maladie mentale dirigée contre les enfants et l’absence de transparence permettant de détruire, dissimuler ou falsifier aisément les preuves en contrôlant les analyses et l’éducation de masse pour marteler médiatiquement qu’il était scientifiquement impossible que l’ajout de la variable «Z» crée des effets secondaires, malgré le changement qui se produit algébriquement dans le modèle de la droite ou de la gauche liant les variables «X» et «Y». Et si par hasard des effets se manifestaient, tel que prédit par les « mathéma-politiciens » censurés ou éliminés (inquisition) pour ne pas avoir respecté le discours de l’autorité scientifique en place, la ligne de partie était de prétendre que les effets s’expliquaient malgré tout par « X » et « Y », même si jamais observés auparavant. Et si jamais l’incohérence devenait trop flagrante, il était finalement admis qu’une possible troisième variable pouvait en être responsable, alors on accusait la variable « Q », passant sous silence l’évident ajout initial de « Z » pour ne pas assumer la responsabilité criminelle d’en avoir à dessein profité, plaidant alors l’ignorance ou l’incompétence. Et la trame générale sous-jacente à l’acceptation de tout ceci impliquait une amnésie liée à notre création, à notre souveraineté et à notre origine non seulement planétaire mais cosmique, voilé par un oubli volontaire de nous dire que nous vivions dans une pièce de théâtre ou un jeu vidéo construits autour de nos vies par des organisations, des entités et des pouvoirs parallèles parasitant notre performance d’acteurs ou de figurants par notre peur du ridicule, de sorte que votre père s’était fait avoir toute sa vie par ce qu’il croyait savoir, corrompu objectivement par l’orgueil de sa propre scène. D’abord à travers la vitrine de la religion et ensuite, à travers celle de sa formation scolaire et scientifique qui n’était finalement que l’envers de la même dérive sectaire s’étant infiltrée partout dans nos sociétés pour lui promettre un idéal de succès à lequel il avait essayé d’adhérer avec difficulté par des efforts sincères et intègres, ce qui était au cœur de sa conscience du problème : « Jusqu’à quel point était-il corruptible, qu’est-ce que cela signifiait et qu’est-ce que cela impliquait, peu importe la forme techno-spirituel que pouvait prendre son univers. » Et le schisme qui a définitivement brisé son sort est survenu en 2018, le forçant d’abord à vous en protéger en demeurant réaliste et observateur, tout en arpentant progressivement le chemin de la remise en question complète de tous les aspects fondamentaux de ses pensées et de sa réalité à travers de multiples évènements étranges mais cohérents qui se coordonnaient à la fois dans sa vie personnelle et à l’échelle mondiale par une synchronicité du temps. En fait, c’était comme se réveiller difficilement d’un mauvais rêve pour enfin s’avouer qu’il avait été stupide de croire les experts initiés et bien payés de la « Royal Society » qui affirmaient que les civilisations passées, avec leurs grands feux destructeurs respectifs et leur architecture de loin supérieure à tout ce que nous faisions aujourd’hui en termes de beauté, d’élégance et de précision, n’avait été que le fruit technologique d’un habile esclavage maniant pioches, bœufs et charrettes. Ou c’était comme d’entendre l’agence spatiale américaine affirmer que la technologie payée par leurs contribuables, pour l’un des évènements les plus marquants de la fin du 20e siècle, le fait d’avoir marché sur la Lune, avait été détruite. Et que pour cette raison, il était difficile de la reproduire aujourd’hui afin d’y retourner. Mais quelle incroyable connerie. Notez que le sigle NASA avec la langue de serpent rouge en forme de T au centre formait effectivement l’anagramme de cette entité alors très populaire pour ses mensonges. Comment pouvait-on être à ce point stupide pour vouloir détruire de telles preuves historiques d’une telle technologie à l’apparence de boîte de conserve, d’autant qu’elles ne leur appartenaient pas? La réponse était simple, ce n’est pas de la stupidité mais de la criminalité, et le blanchiment d’argent, l’extorsion, le trafic humain et le meurtre étaient les choix les plus souvent cités. Qu’en était-il alors de la virologie et de la génétique au service de l’industrie économique et politique moderne? J’avais donc pris la mesure de ce que signifiait le mot « croire » qui implique par définition de se soumettre à une autorité ou une influence autre que la sienne, alors que « savoir », c’est la partager. Et votre père avait été un bon croyant, particulièrement des scientistes. « Croire » n’est donc qu’une étape temporaire de dépendance, le temps de devenir apte à détecter tout mensonge qui te rend vulnérable à la manipulation ou à l’influence d’autres êtres ou organisations disposant de connaissances plus avancées. Et maintenant que ce concept était très bien intégré chez votre père, il était pleinement disposé à en corriger réellement la chose. Et je n’étais pas un pionnier ou une exception en la matière, au contraire, il fallait absolument reconnaître l’incroyable travail de recherche, de diffusion et d’actions déjà engagées par d’autres, souvent par les plus anonymes, et qui l’avait grandement aidé. Maintenant, est-ce que nous vivions une nouvelle réinitialisation par un grand déluge de «boue» ou était-ce la fin de cette guerre mythologique des dieux de l’Olympe et des Custodians contre l’homme et sa création, visant la destruction planifiée par la traîtrise et la dégénérescence morale et intellectuelle de ses civilisations successives comme la Lémurie, l’Atlantide et la dernière en date, la Grande Tartarie, en le rendant toujours esclave d’un fonctionnariat corrompu par des imposteurs technocrates et des bandits qui ne produisent rien et qui exigent qu’on leur demande la permission pour toute en s’infiltrant dans la politique, l’administration, la guerre, la santé et le pouvoir médiatique pour arnaquer le commerce du vivant, s’enrichissant en négociant des faveurs plutôt que le travail compétent et intègre, éliminant ou discréditant tous ceux qui résistent à leurs règles de vendre leur âme au diable pour la richesse et la gloire, déguisant par leur discours le mensonge en vérité, faisant de l’hypocrisie et de la séduction leurs armes de prédilection pour insuffler le doute et la bisbille afin de mieux conserver leur pouvoir de régner dans l’ombre sur la pensée des gens? Était-ce la révélation et la fin de toutes ces guerres et souffrances provoquées inutilement par toutes ces sociétés secrètes lettrées et leurs agences de renseignement militaire séculaires pour espionner et gouverner le mental, cachant des technologies et leurs bio-laboratoires pour réaliser des expériences scientifiques horribles de toute sorte, infiltrant les organisations et contrôlant le trafic d’enfants et le politiquement correct par le chantage sexuel, les pots-de-vin et le meurtre, et dont la franc maçonnerie sioniste satanique était l’une des plus mentionnée en raison de son symbolisme reconnaissable et de son implication dans un « Disney-land » eugénique pédophile et transsexuelle valorisée dans toutes les industries du spectacle typiquement Hollywoodienne? Était-ce la fin de ce verbiage qui cherche à légaliser moralement le fait de contourner le « tu ne voleras point » par des méthodes juridiques développées par le barreau et les banquiers pour mettre en place des systèmes contrôlant l’accès au savoir et à l’énergie, normalement gratuit, et dont la création de la réserve Fédérale américaine, des banques centrales, des bureaux de brevets et des grandes places boursières en avait été les portes étendards modernes? Était-ce la fin, non seulement du symbolisme du nombre 6 qui deviendra une marque de commerce aisément observable, mais celle de l’acte britannique de Celui qui vie, le « Cestui Qui Vie Act 1666 », publiée l’année d’un autre grand incendie, celui de Londres et qui justifiait de déclarer sans preuve formelle qu’un Être vivant était mort afin que le seigneur ou le roi puisse s’accaparer ou céder à d’autres les titres, les terres et les propriétés de ce dernier; simple reflet de cette logique du colonialisme parasitaire moderne. Dans ce cas, il fallait que cet homme se soit absenté du royaume ou qu’il soit parti par-delà les mers pendant au moins 7 années consécutives sans donner aucun signe de vie, qu’il soit jeté ou non par-dessus bord. Sauf que s’il était prouvé que ce dernier était encore vivant, il pouvait retrouver ses titres avec dédommagements et intérêts; mais encore fallait-il se savoir mort… Et en fonction des cartes géographiques de l’époque, le par-delà les mers devait probablement référer à celles de l’Hyperborée au pôle nord avec en son centre, la montagne magnétique et non économique appelée « Black Rock » ou mont Méru ou mont Sion; ou bien aux mers de par-delà les murs de glace de l’Antarctique vers les autres terres des mondes connues sous le grand Dôme. Était-ce la fin de tout ce qui était caché et corrompu derrière l’histoire biblique de la chute des anges et des peuples abrahamiques avec leurs anciens empires de Sumer, de l’Égypte, jusqu’à la Rome antique et dans sa forme la plus récente, du Saint-Empire Germanique qui a mené à toutes ces guerres religieuses et philosophiques intestines jusqu’à l’usurpation en 1871 de la constitution américaine, remplacée insidieusement par les statuts d’une corporation étrangère de la ville-état de Washington D.C. jusqu’à la révolution bolchévique russe de 1917 et la déclaration de Balfour la même année, afin de maintenir le pouvoir de 13 généalogies papales et royales déchéantes d’Europe au sang bleu « reptilien » et de leurs deux autres ville-états que sont la cité du Vatican et la cité de Londres formant cet astral et démonique état profond corporatif militaro-industriel asservissant notre monde par l’emprise de leur culte de la reine de la ruche et de leur dieu soleil, Isis-Ra-El, détruisant par tous les moyens la conscience éthérique ou christique de la création des royaumes de l’air (l’Esprit), de la mer (l’Âme) et de la terre (le Corps)? Rappelons que la déclaration d’indépendance « We the People » de 1776 des 13 colonies américaines leur a permis de créer leur propre Maître de la poste, de retirer les titres de nobilités de l’administration publique et de rappeler qu’en chaque américain né libre sur la Terre réside l’autorité gouvernementale en raison des lois Naturelles et de cette même Nature divine qui les habilite. Assistions-nous au rétablissement politique de cette compréhension de ce qui ne va pas dans notre univers, de son histoire et du pouvoir caché derrière ce droit Naturel? Le tout coordonné par une incroyable alliance avec des civilisations technologiquement plus avancées mais proches de la nôtre et une opération civile et militaire mondiale engagée sur plus d’un siècle, utilisant le mouvement patriotique russe et américain pour reprendre le contrôle de leur pays respectif et réveiller les autres peuples à leur propre esclavage? Avions-nous vécu finalement l’effondrement des banques, la mise en place du système financier quantique adossé à l’or et le signal d’émission d’urgence pour confirmer la justice des tribunaux militaires sous la loi martiale de cette guerre de 5e « génération » pour le contrôle absolu de nos esprits? Au moment où vous lisez ces lignes, vous devriez maintenant le savoir… et si ce n’est pas le cas, ne soyez pas surprises si votre père lutte encore, comme tous ces guerriers qui incarnent la justice de protéger le dévoilement libre et objectif des faits afin de rendre le processus universellement accessible.
Tester l'histoire officielle : Cette fois, allons prendre une simple marche dans le quartier pour voir si rapidement, avec les moyens du bord, nous observons des traces crédibles de l’incohérence de l’histoire officielle, telle que rapportée actuellement par ceux qui la dénoncent brillamment. Et si une tendance se révèle ou qu’une constante se répète, comme ce fut le cas dans mon exemple du nombre triangulaire, pousser plus loin l’investigation fait juste du sens afin d’en découvrir encore une fois la formule cachée. Toujours en faisant le lien avec ce jeu corrompu d’un narratif orienté par la réputation et le discours de faux experts, choisis pour leur capacité à mentir et se soumettre à un culte ou à une fraternité pour la gloire et l’argent, afin de protéger le marché de leurs maîtres à penser qui ont la mainmise sur la célébrité et l’octroiement des grands postes corporatifs politiques, institutionnels, médiatiques et scientifiques pour subtilement nous les imposer comme une autorité afin de mieux nous voler et nous contrôler. Voyons d’abord les grandes lignes officielles. En gros, vers 1850, à l’instar de plein d’autres villes et villages en développement un peu partout en Amérique, Montréal va réussir, avec ses quelques 60 000 habitants, à mettre en place toute une infrastructure complexe de canaux fluviaux, de réseaux ferroviaires et de routes qui vont favoriser un développement industriel et manufacturier lui étant inconnu jusqu’alors. Le tout avec une rapidité d’exécution, une ingéniosité technique, un sens de l’esthétisme et un approvisionnement sans faille en outils, main d’œuvre et matériaux nobles, pour des chantiers qui sont en plus ralentis 5 mois par année par des hivers rigoureux, un fleuve gelé et une population locale qui luttent encore pour son confort et sa survie. Qui plus est, un tel développement nécessitait, comme vous allez rapidement le constater, un grand sens des priorités, des responsabilités et du partage communautaire. En effet, tel que l’histoire nous le rapporte, nos ancêtres, en plus de devoir bâtir leurs propres maisons, leur aqueduc, leurs égouts, leurs édifices institutionnels architecturalement anachroniques et de payer dévotement la dime (Concil de Lateran de 1215), cet impôt déguisé du commerce des âmes géré par des constitutions corporatives spirituelles pour nous vendre un stationnement au paradis de leur dieu caché du « Golden Order Dominion », avaient le temps et les ressources pour construire non pas une, mais une multitude d’églises magnifiques en pierres taillées. Et souvent, à quelques centaines de mètres près l’une de l’autre, comme cela s’observe aisément à Montréal, alors que le village ou arrondissement voisin, accessible à pied sans avoir à sortir le cheval et la calèche, en avait déjà construit une très belle. Et certaines seront même reconstruites à plusieurs reprises pour cause de ces fameux incendies qui expliquent tout. Prenons l’exemple de Notre-Dame-Des-Sept-Douleurs, cette église de Verdun construite entre 1911 et 1914 pour ce qui, à l’époque, était l’équivalent d’un village d’à peu près 2000 habitants. Notons au passage que la date d’inauguration fut drôlement inscrite sur sa façade, A A912 D alors que pour l’immeuble juste au coin, on aura su écrire sans difficulté en chiffres romains l’anno Domini 1931 (A.D. MCMXXXI). La raison évoquée pour sa construction; une volonté de séparation d’avec la paroisse de Côte-Saint-Paul qui en 1899 venait tout juste de perdre son église en raison d’un incendie causé par la foudre. La solidarité de ce fameux esprit de clocher évoqué précédemment. Et dépendamment des versions officielles, cette même église Saint-Paul sera reconstruite en 1900 pour brûler à nouveau en 1907, ou alors, ce ne sera qu’en 1910 et 1911 qu’elle sera reconstruite de façon magnifique en pierres et béton armé; ou alors, seule sa façade aura été retapée à cette date, pendant que l’on bâtissait la caserne de pompier, une banque, une pharmacie, une boulangerie et l’ancien hôtel de ville de style néo-classique. Notez qu’aujourd’hui encore, 1,5 km de distance en ligne droite sépare ces deux églises sur la rue du même nom. Et juste pour insister sur cette obsession d’avoir une densité élevée d’églises au kilomètre carré, pas très loin de là , en 1904, année de l’exposition universelle de Saint-Louis aux États-Unis et dans ce qui sera appelé plus tard l’arrondissement Côte-Des-Neiges Notre-Dame-de-Grâce pour lequel j’ai travaillé, le frère Abundius et le célèbre frère André vont quant à eux préférer bâtir une petite chapelle en planches d’épinettes. Et après avoir pris le temps avec leur équipe de l’agrandir à 4 reprises et de la déménager, ils vont eux aussi se décider à la grandeur en amorçant en 1914 la construction de la crypte pour la future basilique de l’oratoire St-Joseph. Mais quels bâtisseurs incroyables! Quels gestionnaires de projets efficaces pour mobiliser ressources et huile de coude sans satellite ni calculatrice. Il suffit de se promener sur l’île de Montréal pour comprendre que tout devait être constamment en chantier au 19e et 20e siècle et que nos ancêtres ou leurs postérités, n’auront pas pu bénéficier réellement ou très très longtemps pour eux-mêmes du résultat d’ensemble cohérent et esthétiquement glorieux de leur vision et de leur travail colossal, ce qui est étrange. En effet, malgré le fait que nous sommes devenus beaucoup plus nombreux avec le temps, ce patrimoine au lieu d’être intégré, protégé, entretenu, valorisé, sera plutôt détruit, modifié ou abandonné, une tendance généralisée partout dans le monde occidental. Comme si cela faisait partie d’une volonté politique planifiée de l’oubli, ce qui était en fait le cas. Cela questionne également cette incroyable facilité pour l’époque de financer publiquement ces grands travaux et toutes ces fameuses expositions universelles dans les grandes villes du monde afin de construire en moins de 3 années des palaces et des sites architecturaux d’une beauté exceptionnelle pour mieux les démolir par la suite au lieu de laisser les populations locales indigentes qui les avaient payées et construites les utiliser? C’est tout plein de gros bon sens moderne et tout à fait conforme à ce modèle politique de gestion corrompu du mensonge dont la démonstration n’était plus à faire. La technologie est développée pour se rendre sur la Lune, elle appartient aux américains qui l’ont payée, et elle est détruite par la suite par leurs propres institutions sans leur consentement éclairé rendant difficile le fait de vouloir y retourner facilement 50 ans plus tard; même logique ridicule. Mais qu’est-ce qui s’était passé? Qu’avions-nous perdu en chemin? Pourquoi dans ma modernité, ça faisait plus de 20 ans que je circulais sur une autoroute 20 en perpétuelle réparation avec ses cônes orange éternels? Ou encore, pourquoi construire cette piste cyclable toute croche au coin de ma rue, embellie d’une finition de pavés « briquelés », finition qui sera détruite trois mois plus tard parce que l’asphalte de la rue transversale sera refait? Tout simplement en raison de cette perte de capacité à faire résonner les cloches dans le cœur des villes et des villages du Québec, ce qui a permis à ces horreurs de gestion d’être tolérées et érigées en système pendant des années, sans aucune conséquence ni sanction, pour l’enrichissement d’une classe de gens et de fonctionnaires crasses et une population endoctrinée qui, par son silence et son orgueil, tolère cette corruption et cette injustice par peur de perdre le confort d’un salaire et d’un statut social illusoire de liberté et de sécurité, le « Golden Order Dominion ». Avais-je besoin personnellement d’une autre preuve formelle de l’incroyable détournement de nos administrations publiques, de la corruption, de la faillite morale et du mensonge juridique et bureaucratique qui avait pris le contrôle de la société? Évidemment non, vu mes propres exemples personnels que je vous étayais pour cette raison.
Description de ce qui est vu sur le terrain : Mais après ce petit questionnement sur le rôle réel de nos églises de quartier, rendons-nous à la Maison du fief de Verdun, l’un des plus importants sites archéologiques préhistoriques à avoir été découvert sur l’île de Montréal et voyons ce qu’il nous raconte. Il est dit que ce vestige isolé est une maison en pierres française qui a vraisemblablement été construite en 1710 par des religieuses, formulation qui implique l’incertitude. Sa bande riveraine qui se retrouve à une centaine de mètres juste en face et sur laquelle nous allons marcher jusqu’à l’école Monseigneur Richard est selon ses historiens et archéologues experts, essentiellement la même que celle observée au 18e siècle malgré la forte urbanisation qui est principalement résidentielle dans ce secteur. D’ailleurs, la carte de 1830 qui est présentée ne montre pas de densité de constructions importantes, comme c’est le cas pour la zone du vieux port, mais plutôt un immense terrain vague avec quelques petits rectangles distribués le long du chemin désignant les « King’s Stores » ou possiblement les quelques exploitations agricoles autrement mentionnées. Notez cependant que dans cette bande rouge ajoutée sur la carte pour désigner la zone de la maison St-Dizier, il n’y a pas de petit rectangle lui étant associée. Maintenant, si on en croit les recherches archéologiques rigoureuses autour et à l’intérieur de la maison, le site témoigne d’une continuité de haltes et de campements depuis plus de 5000 ans, renforçant l’idée qu’il n’y a jamais rien eu de plus élaboré que des terres en friches ou agricoles permettant ces arrêts temporaires. Sur la base de ces informations touristiques officielles, rien de particulier ne devrait être trouvé sur cette rive, si ce n’est par chance, des petits artéfacts préhistoriques, peut-être quelques vieux trucs agricoles ou quelques déchets modernes, là où il y avait un chemin permettant aux gens du coin d’aller jeter leurs vidanges sur le bord de l’eau. Mais voici factuellement ce qui est observé. La berge est de façon constante et répétitive jonché d’une multitude de pièces et de débris de constructions ou d’infrastructures, parfois imposantes et reconnaissables. Et elles semblent appartenir à la même époque vu la ressemblance dans les matériaux les constituants et le style de fabrication. Ils sont enterrés à proximité de l’eau sous une constante et imposante couche de terre, qui va présenter différentes pentes, parfois très abruptes, et dont l’épaisseur peut être estimée grossièrement à une hauteur moyenne de 5 mètres, du niveau de l’eau à la partie plane la plus élevée de ce large terrain transformé en parc et piste cyclable qui longe de nos jours le boulevard Lasalle ou la côte de Verdun sur la vieille carte de 1830. Maintenant, juste pour se fixer les idées, imaginez un dépotoir de 5 000 m de long sur environ 100 m de large, qu’il nous faut remplir d’une couche de terre et de débris sur 5 mètres de haut en prenant un petit camion de déchargement de 10 mètres cubes et faites-le calcul du temps nécessaire. Ensuite, amusez-vous à faire cette marche mais dans l’autre sens, jusqu’au bout du parc René-Lévesque à Lachine, qui se termine d’ailleurs par une ancienne jetée de bateau en ruine; vous allez voir que ce dépotoir, il est long en calvaire. Et qu’en est-il jusqu’à Sainte-Anne-De-Bellevue? Ou jusqu’à Pointe-aux-Trembles? Avec le recul, je perçois très différemment mon expérience à parcourir toute cette rive de l’île et à travailler sur son réseau séparatif d’égouts pour le service de l’environnement. Mais le mystère ne s’arrête pas là , car une date minimale de déchargement pour ces débris peut être rapidement établi. En effet, ces derniers sont régulièrement enterrés sous des arbres centenaires et possiblement bicentenaires dans certains cas. Il suffirait de raffiner par carottage l’estimation; car les carottes, c’est excellent pour la vue. Mais bref, ils étaient là bien avant ou en même temps que la construction de notre fameuse église mentionnée au départ, Notre-Dame-Des-Sept-Douleurs, il y a plus de 100 ans. Comment est-ce possible? Détruire dans un temps où l’on doit tout construire? Distribuer à cheval et de façon quasi uniforme pour enterrer profondément de lourdes pièces le long d’une rive peu praticable? Mais surtout, d’où viennent tous ces débris? Qu’est-ce qui, en première estimation au 19e siècle, a été démoli massivement dans un secteur agricole où il n’y avait soi-disant rien? On y trouve des constructions de briques, différents mortiers et pièces de béton armé, du granite taillé, des dalles, de l’asphalte, des tuyaux, des cheminées, des roues de pierre, un amarrage de bateau, des couvercles de métal fondu, des fils de fer et d’anciens égouts. Nous avons presque l’inventaire d’une ville complète… Et pourquoi cette impression d’anciennes fonderies ou de fours lorsque j’ai découvert cette brique jaune écossaise de la marque « Castlecary »? Elle me rappelait les briques à feu jaune que l’on utilisait lors de la rénovation des cuves pour en protéger le fond contre le bain électrolytique d’aluminium. Quelque chose ne s’additionne tout simplement pas et la présence du vieil auditorium de Verdun, construit en une année seulement de 1938 à 1939 et ce, malgré une grève des travailleurs, explicite par ailleurs la préexistence du dénivelé du terrain déjà à cette époque. Maintenant, en poursuivant notre chemin après la plage publique, sur ce qui était une ancienne promenade asphaltée en bordure du fleuve, nous croisons cet immense tuyau de sortie des eaux pluviales, tout juste avant d’arriver à l’école Monseigneur Richard. Dans ce cas particulier, pourquoi s’est-on donné la peine de le faire avancer si loin dans le fleuve? Un problème de débit? Y a-t-il un lien avec les grands travaux des intercepteurs et l’usine d’épuration colossale bâtie de 1974 à 1984 à Pointe-aux-Trembles? Et qu’en est-il de ce canal qui se retrouve tout juste un peu plus loin derrière l’école? Il semble correspondre à cette branche de la rivière St-Pierre qui se jette à cet endroit dans le fleuve sur la vieille carte de 1830. De ces deux structures, on en déduit qu’il aura fallu excaver sur plus de 5 mètres d’épaisseur et sur plusieurs centaines de mètres de distance devant et derrière l’école Monseigneur Richard et ce, avant ou après sa construction en 1967, année de l’exposition universelle mais cette fois Montréalaise. Il aura fallu également assécher le fleuve afin de connecter le tuyau et couler les murs de béton. Ce ne sont donc pas de petits travaux légers qui passent inaperçus; il devrait être facile d’en retrouver les traces. Et alors que notre périple se termine et que nous croyons être en reste, nous arrivons face à cette polyvalente de la révolution tranquille qui ne se présente certainement pas sous un style victorien ou gréco-romain classique et dont j’ignore volontairement les définitions ici. Mais en prêtant un regard plus attentif, non seulement est-elle laide et mal entretenue, mais cet étrange design ou combinaison de pièces et de matériaux en béton avec des alignements et des configurations peu précises en rapport avec ce qui devait être à l’époque une construction neuve rend perplexe. Elle donne plutôt l’impression d’une ancienne usine rafistolée en école sur d’immenses pilotis rouillés qui cache d’anciens murs enfouis. Et le tuyau de métal énigmatique qui sort du gazon à quelques mètres de là , loin de donner l’impression d’être là par hasard, s’harmonise plutôt bien avec ce tableau d’ensemble une fois qu’il est reconnu. D’ailleurs, pourquoi avoir creusé si profond pour un espace qui n’allait de toute façon pas être utilisé, nécessitant cet affreux mur de soutènement dans lequel certaines poutres de béton vont s’y enfoncer de façon bizarre? Pourquoi ne pas avoir compacté le sol et coulé une simple dalle de béton? Parce que le terrain était soi-disant contaminé? Où en était cette science à l’époque? Hum… il me faudrait revoir mes notes de cours? Et malgré cela, on a décidé d’y construire une école avec jadis, une piscine intérieure? Encore une fois, ce même gros bon sens qui va justifier le fait que cette antenne 5G ait pu être installée tout près de l’école sans autorisation ni démonstration publique de son innocuité sur la santé des enfants. Bref, une simple marche dans le quartier, et sans surprise, nous percevons ces relents d’histoires imprécises dans lesquels nous baignons à tous les niveaux et qui soulèvent toujours le même voile de questions. Par conséquent, si je veux en trouver la formule exacte, il me faudra y consacrer à nouveau temps et ressources, ce qui nous ramène au pourquoi de mon affidavit sur la récupération de ma représentation politique et de mon patrimoine; car ne l’oublier pas, tout est lié. Mon histoire à moi, elle se veut simple, transparente, cohérente… et facilement vérifiable.
Idiome : « Système construit pour faire débattre inutilement par la prétention de la connaissance sans questionner le fondement de son ignorance en raison d’une illusion émotive dans laquelle sont enfermés les gens pour mieux être contrôlés et abusés; un crime classique ou cosmique déguisé en vertu suivant l’excuse que c’est pour nous rendre service. » Idiot : « Celui qui par orgueil est incapable de reconnaître qu’il ne sait pas qu’il ne sait pas et qui ne s’en soucient guère, préférant moquer les autres par sa certitude que la terre est ronde sans jamais l’avoir vérifié lui-même, clamant l’évidence de sa position émotive sur celle de sa vedette télé-spirituelle préférée, sur ce que lui dit de répéter ses études de la physique universitaire ou bien sur le statut fictif que lui rapporte le salaire d’un emploi ou d’une entreprise qui le possède. » Je n’avais pas d’autre choix que de cesser d’être dirigé par cet idiome, donc d’être un idiot et d’en fournir la preuve à mes enfants. Contexte Cet évènement est survenu par un soir d’automne de 2024, alors que ma fille la plus jeune et moi-même, nous nous consacrions à ses devoirs de 5e année du primaire après notre souper de semaine. Alors que je survolais cette notion que je ne me rappelais pas avoir apprise, malgré mes nombreuses années d’études en la matière, j’ai donc décidé de questionner ma fille pour voir si elle la comprenait. Elle me répondit alors de façon honnête et perspicace mais pas nécessairement dans cet ordre… ni d’une façon aussi synthétique : « Non papa, je ne comprends pas vraiment. C’est quoi un nombre triangulaire? ça sert à quoi? et comment je fais pour savoir si un nombre donné en est un? » Je voulais lui répondre immédiatement mais, au-delà de bien comprendre la définition, je ne faisais aucun autre lien pertinent, je ne savais pas. C’était pourtant simple, de niveau primaire. Mais qui sait expliquer les choses simples de son monde? Et qui a le temps et l’argent pour pouvoir le faire sereinement, ne luttant plus contre la servitude du « manque de » ou du « ça ne se peut pas » imposée par celle des autres… Les lignes de mes mains étaient pourtant les bonnes, je vivais bien cette synchronicité des nombres ou des heures miroirs avec l’apparition constante de ce fameux nombre 17; j’avais bien toutes ces douleurs chroniques dans tout le corps; mais non rien, aucune révélation ou aide précise d’un quelconque double, guide ou contact cosmique nécessitant mon abonnement internet; il me fallait procéder comme à l’habitude par essais et erreurs avec un intellect égoïque supposé inférieur mais inspiré par sa source. Ça m’a pris environ trois semaines de griffonnages pour trouver la solution, générant sur ce chemin classique de l’accomplissement les multiples états de frustration et d’excitation associés. Cette psychologie de base d’un être qui subit et observe les limites qui lui sont imposées en essayant de les dépasser. N’étant plus un mathématicien pratiquant depuis fort longtemps et jamais devenu officiellement ce qu’on appelle un professionnel accrédité aux yeux de la société ou de son environnement immédiat, je n’étais donc pas qualifié pour répondre à cette question et encore moins breveté à l’enseigner; ce qui m’aurait donné le permis, la licence ou le droit de le faire dans ce monde du commerce et du contrôle de tout ce qui n’est pas autonome; afin d’entretenir le salaire et le train de vie de tous ces bureaucrates mentalement déséquilibrés qui priorisent le fait de répéter et d’imposer leur solution admise sur papier à la capacité pratique de démontrer son inefficacité. Dans ce genre de situation, des thèses totalement absurdes et incohérentes vont alors prendre le dessus. Un peu comme cette interprétation canonique biblique qui propose que le père engendre seul le fils, contrairement à ce que nous vivons et observons sur le plan physique; la mère est absolument nécessaire à tous ceux qui naissent naturellement sur cette planète. Alors pourquoi cette dichotomie, cette inversion des rôles et des genres? C’est quoi cette église basée sur la tolérance de toute créant l’injustice qui soutient jusqu’aux mercenaires qui tuent pour de l’argent ou aux abuseurs d’enfants pour qu’un peuple ou certains individus puissent se sentir élus au point de croire que l’univers est une banque qui leur appartient? J’ai donc vu dans ce concept du nombre triangulaire un autre exemple pour en détruire la prémisse et compétitionner l’influence sur mes filles de cette société volontairement construite pour restreindre leurs moyens, leur temps et leur intérêt à faire l’effort de savoir par elles-mêmes, confiner à la logique du métro, école, divertissement rapide axé sur la sexualité et la popularité et dodo. Tout cela se coordonnant avec mon processus pour le changer et régler définitivement toute la question du patrimoine de l’être vivant et de son statut légal et légitime dans les juridictions de l’eau, de l’air et de la terre (« LAW : Land, Air, Water ») et celle occultée de l’éther, afin de rétablir tout notre potentiel de temps et de ressources sans que cela ne soit plus contesté collectivement par quiconque suivant le même principe, le même état d’esprit que j’avais appliqué pour résoudre cette question du nombre triangulaire; neutraliser toute force qui me contraint à l’ignorance. Plus de débat émotif avec mon être inconscient insouciant ou avec mon être conscient, missionnaire spirituel manipulé par son illumination prétentieuse qui impose le « je pense que » ou le « je crois que » de son ignorance pour chaperonner le monde; seulement cet être « scient » qui impose le respect, la paix et l’harmonie parce qu’il sait absolument que ou qu’il ne sait pas, le disant et le prouvant ouvertement à qui le demande. Donc, qu’est-ce qu’un nombre triangulaire? ça sert à quoi? et comment je fais pour savoir si un nombre donné en est un? Voici la réponse exhaustive donnée à ma fille et à laquelle elle ne s’attendait certainement pas; avec les quelques traces pour me rappeler que maintenant je le sais.
Ça fonctionne : la preuve que Ma très chère fille, voilà ce que j’ai appris. À chaque nombre naturel N correspond un nombre triangulaire ΔN qui, par définition, est le résultat de l’addition de tous les nombres naturels de zéro jusqu’à ce nombre N. Il tire son nom du triangle ou de la pyramide de largeur et de hauteur N qui va apparaître, en plaçant une par-dessus l’autre, comme dans un jeu de blocs, chaque couche de cubes ou de points associés à chacun des nombres qui se succèdent tout naturellement de 0, 1, 2, 3, … jusqu’au nombre N choisi. Le nombre total de cubes ou de points nécessaires pour construire ce triangle ou cette pyramide est ce nombre triangulaire associé à N, peu importe l’échelle de grandeur. Et comme nous retrouvons dans notre passé des constructeurs de pyramides un peu partout dans le grand canyon de la planète, pas seulement en Égypte, voilà un brin d’histoire qui peut expliquer son enseignement. J’ai ensuite trouvé une formule générale simple qui permet de le calculer en moins d’opérations. Elle utilise les sous-suites de chiffres qui composent tout nombre N à l’écrit, chiffres qui correspondent dans notre cas présent aux coefficients des puissances de la base 10. Dès lors, j’ai eu l’idée de programmer grossièrement cette formule dans un chiffrier informatique pour te donner accès à un outil de calcul te permettant de vérifier rapidement si ce que je te dis est exact sans que tu passes par tout le travail mathématique. Grâce à ce dernier, j’ai pu saisir une méthode pour répondre à ta question du comment savoir si un nombre naturel M est lui-même un nombre triangulaire, c’est-à -dire s’il existe un nombre N tel que son nombre triangulaire ΔN est égal à M ou encore, que M est le résultat de l’addition des nombres naturels de 0 jusqu’à N. En effet, grâce à la rapidité des calculs, il devenait simple de trouver directement si ce nombre N existe en appliquant une méthode itérative pour arriver à construire l’inégalité suivante ΔN inférieur ou égal à M inférieur à Δ(N+1); M étant un nombre triangulaire seulement dans le cas de l’égalité. Et au lieu de m’arrêter là , j’ai décidé de pousser quelque peu cette idée de constructions pyramidales alors que j’observais graphiquement que de multiplier un nombre triangulaire ΔN donné par n’importe lequel autre nombre naturel, disons « P », équivalait à calculer le nombre total de cubes d’un prisme triangulaire. Et dans le cas particulier où P = N, cela me donnait un prisme à base carrée de hauteur, de largeur et de profondeur N. Dès lors, j’ai fait un lien avec la table des multiplications que je te faisais apprendre par cœur pour l’école. En y traçant par exemple le carré de chaque nombre, soit sa multiplication par lui-même, je voyais apparaître indirectement une pyramide à base carrée classique, mais vue à vol d’oiseau et projetée dans le plan. Il en allait de même pour le prisme triangulaire si je faisais le traçage approprié. Poursuivant alors avec cette idée de pyramide à base carrée, j’observais que je pouvais tronquer son sommet à partir d’une certaine couche N pour le remplacer en parfaite continuité par ce prisme triangulaire précédemment obtenu; un peu comme sur cette étrange image du dollar américain qui met en évidence l’intérêt voué par ses concepteurs à ce culte particulier de la construction des pyramides. Ce n’était pas un hasard. Et par ce jeu de substitution du sommet, cela m’a ramené au fait que le prisme contenait en lui-même la partie tronquée de la pyramide à base carrée; il suffisait de lui retirer les quelques blocs nécessaires. Chemin faisant, une formule pour calculer le nombre de blocs de ce sommet qui est lui-même une pyramide à base carrée se dessinait tout naturellement sous mes yeux; ou si préféré, une autre façon d’évaluer la fonction mathématique classique de la somme du carré des nombres allant de 0 jusqu’à N. En effet, les couches de blocs retirés du prisme permettaient de construire la suite exacte des nombres triangulaires allant de 0 jusqu’à (N-1) me montrant que le nombre total de blocs dépendait de l’expression suivante : Prisme triangulaire N x ΔN - Somme de chaque nombre triangulaire jusqu’à (N-1) = Pyramide à base carrée N associée = +(iexp2) : i de 0 à N Tout ce qu’il me restait à faire, c’était de trouver une façon d’évaluer plus simplement cette somme de nombres triangulaires. Ce que je fis encore une fois avec les mêmes principes, simplifiant à nouveau le nombre d’opérations nécessaires et ajoutant cette formule programmable dans le chiffrier comme outil de calcul. Donc je savais maintenant calculer sur papier ou informatiquement le nombre de blocs que ça me prend pour construire une pyramide à base carrée, ce qui est un bon début. Cependant, je fais comment si je veux les empiler les uns par-dessus les autres alors que chacun de ces blocs pèse plus d’une tonne? Il y a par conséquent dans ce travail un questionnement fondamental et d’autres liens à explorer qui, peu importe l’attitude de désintéressement qu’ils pouvaient susciter par la suite, même chez toi, me permettait encore une fois de te montrer ce qu’implique une réponse rigoureuse et transparente qui vient du cœur pour simplement savoir; alors que la partie la plus difficile et la plus longue était cette synthèse pour te le communiquer clairement. Qui plus est, j’avais joint l’utile à l’agréable en répondant à la question classique du : « Ouais mais ça sert à quoi? » En effet, à l’époque où vous n’étiez encore pratiquement que des bébés et sur la base d’un besoin publique apparemment souhaité, j’essayais vainement de proposer aux représentants de la société une alternative aux barrières pyramidales de sacs de sable lors d’inondations. Or l’outil de calcul développé avec le chiffrier est essentiellement cette base informatique que j’espérais mettre en place pour simplifier la planification des achats du client en fonction de leur besoin en sacs hydrogels. Ce qui m’aurait permis de remplacer par un calcul automatisé les formules que je proposais sur le site web de la compagnie. Mais comme je n’étais pas membre de ce grand club de bâtisseurs de pyramides et que mon âme n’était pas à vendre pour en faire partie, nous avons souffert familialement les conséquences de ce contrôle des institutions par l’hypocrisie et le mensonge qui me faisait dépenser naïvement et inutilement mon énergie sous pression et en mode survie pour essayer de me générer un revenu et améliorer notre sort. Ce que j’ai davantage valider et documenter quelques années plus tard, à travers cette expérience comme travailleur à la ville de Montréal; et en particulier, celle d’agent de bureau aux ressources humaines, m’offrant cet accès privilégié tant recherché pour observer de l’intérieur toute cette corruption, cette inefficacité et cette fraude financière mondialement perpétrée derrière nos services municipaux et gouvernementaux contrôlé par cet état d’esprit de voleurs et de menteurs qui par copinage, utilisent le traumatisme psychologique suivant toutes les formes de crises imaginables pour maintenir leur emprise sur le silence complice de leurs collègues et sur ce blanchiment d’argent public vers leurs poches. Ils utilisent alors tout un arsenal de beaux mots juridiques, politiques et médiatiques d’inclusivité discriminatoire de « mesures d’urgences » ou de « changement du climat » afin de terrifier et détourner l’attention sur les impacts de leurs crimes et de leur évidente et incroyable mauvaise gestion depuis des années; ce que je subissais alors quotidiennement dans mon travail. Et bien entendu, toi et ta sœur deviez l’avoir intégré à ce stade, tout ceci faisait partie encore une fois de la même et unique démonstration. Si j’avais été déterminé à trouver la réponse pour cette simple question d’école primaire, vous alliez découvrir en temps réel ma détermination à répondre à celle de ma liberté, de la vôtre et de l’exécution de la justice en ce monde contre ce que je savais également être le nombre triangulaire d’un système mené par la corruptibilité et ses crapules