Des « Fictions Légales » (observez) : Comment ça? ERIC BLACKBURN n'est pas la même « personne » qu'Eric Blackburn?
Une vérification directe simple (exemple): Éliminer toute confusion possible en exigeant explicitement que l'on s'adresse à l’homme vivant en utilisant le nom « eric blackburn » et voir si le respect de cette évidence pose un quelconque problème.
Prévision:  Ils ne le feront pas vu la réalité de la fraude associée.
Observation : Tel que prévu, aucun destinataire ayant répondu ne traite directement la question pourtant simple.
Voir chronologie (cliquez): Correspondances et autres exemples.
Cadre ésotérique ou politique universel : Le vol de mon énergie, la criminalité associée, ma capacité à l'empêcher.

Plus de débat ni d’excuse; d’abord la base, nous sommes un réservoir d’énergie (notre « fiducie » selon certains) et chacun a son potentiel d’action qui lui est unique pour l’utiliser et façonner sa vie. C’est ce qui est physique et c’est ce qui a de la valeur.

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Maintenant, puisque l’argent est inventé de rien, nous pourrions construire un système tel que chaque bébé à naître sur cette terre dispose d’un montant disons de 100 millions pour gérer sa créativité et son commerce tout au long de sa vie afin qu’il soit autonome.

Et c’est ce qui a été fait mais à l’inverse, une valeur commerciale a bel et bien été attribuée à nos vies, sauf qu’on nous ne l’a pas dit afin que le manque d’argent puisse servir à nous contrôler et à aspirer nos énergies.

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Le but étant de nous transformer en esclave économique, c’est-à-dire en un bon « citoyen corporatif », financièrement dépendant et incapable d’admettre sans paniquer qu’il est manipulé par des pensées préfabriquées, acceptant comme logique d’être taxé dans toutes les sphères de sa vie par des lois, des règles, des statuts, des codes, des chartes et des licences commerciales à n’en plus finir, dans l’espoir qu’un jour peut-être, lui aussi arrivera à faire partie de l’élite (EL-ite),  c’est-à-dire de ceux qui irritent (-ite) à différents degrés le colon de dieu (EL) pour avancer dans la hiérarchie et le pouvoir offert par LA COMPAGNIE. C’est ce qu’on appelle la maladie du Vide.

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Le monde se plaint tout le temps, mais très peu veulent le reconnaître et en changer le modèle de gestion. Une majorité demeurent complaisante face à un monde politique stupide et corrompu, construit comme une grosse machine compliquée qui consomme plus que ce qu’elle produit comme service, qui nous ment, qui est mal géré, qui ne nous donne pas accès correctement aux faits et aux archives; et qui à travers ses gouvernements, ses institutions et le monopole accordé à sa justice légale et à son système bancaire en complet cravate faussement public, rend possible toute cette histoire pour le contrôle de ce marché occulte de notre travail.

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Acheter et vendre pour te rendre dépendant versus recevoir et donner pour te rendre autonome, lequel de ces deux modèles d’éducation chérissez-vous naturellement le plus et lequel respectez-vous politiquement? Il faut vous poser la question. 

 

Et je réitère mon défi de prouver publiquement là où je me trompe, peu importe vos influenceurs favoris. Et je remercie encore une fois tous les Serge Monast de ce monde, ces êtres incroyables et dévoués qui par le passé, se sont organisés pour exposer le mal en ce monde et qui ont créé une alternative de sorte que je puisse à mon tour rallumer ma flamme de gouvernance propre.

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Et si vous ne savez toujours pas de quoi je parle ou comment lever les yeux vers le ciel pour réaliser que ce dernier est bombardé à chaque jour par de faux nuages et de l’ingénierie sociale, qu’il est administré par la duplicité du langage de ceux qui disent ne vouloir que votre « bien » sans vous préciser verbalement, les yeux dans les yeux, que le mot « bien » a pour eux le sens matériel de « possession » et non le sens spirituel de « paix intérieure » sachant que votre bon cœur va le sous-entendre par défaut; ou encore par la duplicité de ceux qui créent et se nourrissent le plus longtemps possible des scénarios et des évènements qui vous rendent vulnérables afin de vous vendre leur remède à eux ou pour vous forcer à accepter « sous pression » ou comme un « chèque-cadeau » une offre inattendue de 50 000 $ sans vous expliquez que c’est en compensation pour le 50 millions qu’ils vous ont en réalité volé; faisant semblant d’être des bienfaiteurs avec votre propre argent, rendant le crime très payant et leur intérêt à arrêter de le pratiquer très faible, vu l’absence de conséquences et de justice réelle; et bien voici une astuce simple pour joindre votre voix à la mienne et à celle de milliers d’autres pour commencer à la rétablir.

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N’avez-vous pas remarqué que les « autorités » vous demandent constamment de bien vous identifier mais qu’à l’inverse, vous prenez leur identification pour acquise? Bon et bien maintenant, exigez-vous aussi de savoir avec qui vous transigez. Prenez une simple feuille de papier, une enveloppe et un timbre, et écrivez par exemple ceci à votre banque ou à votre guide spirituel:

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« Bonjour, j’aimerais savoir si oui ou non, vous faites affaire directement avec moi, l’homme (ou la femme suivant le cas) physiquement bien vivant, en respectant mes droits inaliénables et mes juridictions naturelles d’âme incarnée dont j’ignorais l’existence jusqu’à tout récemment comme autre possibilité pour conduire ma « business » ?

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Si non, faites-vous affaire avec moi indirectement à travers une « personne légale fictive » qui porte mon nom et à laquelle vous m’associez pour que je la représente comme une entreprise dans votre commerce maritime, oui ou non?

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Si non, bah! vous êtes qui et vous faites affaire avec moi comment? Veuillez me l’expliquer clairement en termes simples sans me mentir? »​

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Ou encore cliquez immédiatement sur cette modification proposée en septembre 2020 à mon assurance prêt-étudiant Desjardins et lisez-le par vous-même. Elle explicite sans aucun doute et sans erreur possible que Desjardins Assurances sait que l’« emprunteur » ERIC BLACKBURN n'est pas la même « personne » que l'« assuré » Eric Blackburn. Mais comment est-ce possible?

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Deux façons différentes d’écrire mon nom pour désigner deux « personnes » différentes, tout en laissant sous-entendre qu’elles réfèrent à moi ou à ma « personne physique réelle », puisqu’ils envoient les factures à la même adresse postale? Vous étiez au courant de cette pratique? Donc, ce point est factuel, ne m’a jamais été expliqué, ne relève pas du tout de mon fait et constitue une fraude commerciale d’identification, un point c’est tout.

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Observez ensuite leur réaction et la façon de vous répondre et comparez-la avec ma correspondance ci-bas exposée (en particulier avec Desjardins Assurances, l’Agence du revenu ou encore avec l’Office de surveillance des activités en matière de sécurité nationale et de renseignement). Notez que dans mon grief contre la ville de Montréal et le Syndicat des cols blancs, j’expose, en plus de cet incroyable abus de gestion, le fait que la ville de Montréal se dit elle-même un service du capital humain.

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Remarquez ensuite qu’aucun destinataire ayant répondu à mon avis national et international ne l’a fait en respectant ma demande très claire de s'adresser directement à l’homme vivant « eric blackburn », tout en lettres minuscule pour éviter la confusion, alors que de ne pas le faire est tout aussi incriminant.

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Observez que le plus souvent, ils finissent par écrire à Eric Blackburn, la « fiction légale » créée par mon certificat de naissance ou bien à ERIC BLACKBURN, celle associée à mon numéro d'assurance social. Qui plus est, aucun ne me confirme tel que demandé si ces deux façons d’écrire mon nom servent à désigner la même et unique « personne »; évidemment parce qu’ils sont pris au piège.

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Finalement, observez leurs efforts pour prétendre que ma demande s’inscrit dans le cadre de la Loi sur la protection des renseignements personnels référant à « The Freedom of information Act » du « United States Code  5 U.S.C. 552a ». Heu? Vous étiez au courant? Nous sommes des « citoyens américains »?

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Ceci renforce l’affirmation selon laquelle le gouvernement canadien et ses agences fédérales sont en fait des franchises commerciales assujetties au Code de Loi de « the United States of America, Incorporated », entreprise appartenant à la Corporation de la Couronne Britannique qui l’utilisait comme moyen d’usurper le gouvernement Fédéral américain à partir de Washington D.C. En gros, nous sommes restés des « citoyens de la Compagnie de la Baie d’Hudson » c’est ça?

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Et si jamais en leur écrivant vous obtenez un contre-exemple, s’il vous plaît me le faire parvenir à l’adresse courriel eric.blackburn.montreal.ca@gmail.com afin de les exposer publiquement pour montrer là où je me suis trompé.

 

Et je rappelle l’un des aspects de tout ce travail derrière l’expérience de l’homme qui n’était rien. Faire la synthèse des informations qui circulent pour valider si c’est bien moi l’idiot sans rigueur morale et intellectuelle, ce danger public qui ne sait pas ce qu’est la méthode scientifique par une incontestable preuve mathématique (voir aussi mon exemple du nombre triangulaire) qui me permettra d’acquérir toute la force, la légitimité et la puissance nécessaire pour mettre à l’épreuve tous ceux qui veulent continuer à me mentir et me diffamer et y mettre fin en leur coupant toute possibilité ou envie un jour de recommencer, incluant moi-même dans mon rôle de père.

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Merci de votre attention en la matière.

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L'Homme qui n'était rien